L’après COP 21 : transition énergétique, croissance verte, emploi et compétences
Depuis la COP 21, les entreprises sont de plus en plus engagées dans la recherche de solutions de lutte contre le changement climatique. La transition énergétique, première étape vers le développement durable, ne peut pas se faire sans elles.
Cette transition s’interprète aussi comme une course économique par le biais d’innombrables innovations (technologiques, de service, organisationnelles…) dont beaucoup bénéficient des apports de la digitalisation et de l’Intelligence Artificielle.
Ce faisant, des millions d’emplois sont susceptibles d’être créés au niveau mondial d’ici 2030 pour répondre aux défis de cette transition énergétique, si l’on en croit l’Organisation Internationale du Travail et l’engagement total de l’Union Européenne et de ses pays membres dans l’économie circulaire. La raison est que tous les secteurs économiques sont impactés par une telle transition : les systèmes énergétiques, les modes de production et de construction, la mobilité, la conception et la gestion des déchets, de l’eau et plus largement des villes ainsi que l’agriculture.
Si l’on ajoute à cette formidable opportunité, le fait que les entreprises les plus performantes en matière de développement durable ont un gain de performance en moyenne de l’ordre de 13%, alors il est indispensable que les cadres de direction et managers opérationnels d’entreprises ainsi que les cadres des établissements publics maîtrisent les enjeux, les outils, les bonnes pratiques et les clés du management d’une telle transition.
« Gérer la transition vers le DD comme une opportunité stratégique de leur organisation est une exigence pour les cadres européens et notamment pour ceux du continent africain« , à la fois les plus impactés par le changement climatique et les plus en capacité de s’orienter vers une croissance verte.
Un nouvel mba – master exécutif pour repondre à cette exigence
Le nouveau programme international Executive MBA/MASTER, dont j’ai la responsabilité au sein de l’IFG Executive Education, a été conçu pour répondre à cette exigence.
Ce programme, sur 14 mois est de type blended : 27 jours de présentiel à Paris ou à Abidjan et 33 jours en distanciel, avec un séminaire international (ateliers, conférences, visites d’entreprises) de 5 jours au sein de l’Université du Québec à Montréal sur le thème Sustainable Development and Green Management.
Il est à la pointe des solutions éco-innovantes et des nouveaux business models, mobilisant des académiques, experts internationaux et études de cas d’au moins 3 continents : Europe, Amérique du Nord et Afrique.
Outre les nouvelles compétences, les ouvertures multiculturelles et le dispositif d’accompagnement complet qu’il assure, ce programme unique permet d’obtenir une multi-diplomation :
- Executive MBA en Management de la Transition Energétique et Ecologique délivré par l’IFG Executive Education
- Master 2 RSE et transition énergétiquede l’Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest (UCAO) à Abidjan
- Certificat international Sustainable development and Green Management de l’Université du Québec à Montréal (UQAM).
- Certificat Leadershipde l’IFG Executive education
- Certificat Business Ethicsdeliver par le projet DEFORM de la Commission Européenne.
Il offre aussi l’opportunité de préparer simultanément (et donc d’obtenir) le Master 2 de Responsabilité Sociale et Environnementale/DDde l’Université de Haute Alsace (UHA).
Pour en savoir plus, je vous propose de prendre connaissance du Webinaire de présentation de ce nouveau programme.